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Les (petits) climatiseurs de locaux se répandent de plus en plus dans les bâtiments, en particulier les immeubles résidentiels. Les canicules estivales, l’augmentation des exigences de confort, le fait que ce service soit de plus en plus présent dans les véhicules constituent autant de facteurs favorisant la diffusion à grande échelle de ces équipements et l’augmentation de leur contribution à la consommation énergétique. Que représentent aujourd’hui et que représenteront demain la consommation d’énergie électrique et l’impact environnemental des systèmes domestiques de conditionnement d’air en Europe? C’est à cette question que tente de répondre ce projet de recherche financé par l’Union Européenne.

A partir d’un état des lieux de la situation actuelle, comment diminuer l’impact de l’utilisation des climatiseurs de locaux dans l’Union Européenne ? La contribution spécifique de l’équipe est de procéder la mesure de l’efficacité des systèmes de climatisation individuels vendus sur le marché européen lorsqu’ils travaillent dans des conditions réelles. Pour cela , des essais sont réalisés dans la chambre climatique du Laboratoire Jacques Geelen en soumettant les équipements à des conditions météorologiques précises (climat de Rome, de Stuttgart de Stockholm). Ces essais complètent ceux réalisés dans les infrastructures du Laboratoire de Thermodynamique de l’ULg dans des conditions standardisées.

• Université de Liège - BEMS

• Building Research Establishment

• Austrian Energy Agency

• University of Athens